On pourrait penser que les Anges ont une hauteur
d'avance, mais Paris a plus d'une tour dans son sac.
Il aura suffi d'une répétition olympique pour se convaincre
définitivement que le handicap a changé de camp.
On pourrait penser que les Anges ont une hauteur
d'avance, mais Paris a plus d'une tour dans son sac.
Il aura suffi d'une répétition olympique pour se convaincre
définitivement que le handicap a changé de camp.
Tristan Bernard ne fut jamais triste de son art.
Il s'employa avec la "méthode" propre au roman
ou au théâtre à montrer le monde sous son
meilleur guignol.
Et la noblesse du sport inspira à ses yeux rieurs
des articles qui sont autant d'échappées pour tout
amateur qui, trop facilement, s'estime dérisoire.
Les éditions du Castor astral ont eu la bonne idée
de publier cette aristocratie des stades.
Il y a six fois l'âge du petit garçon qui voit la vie
ronde comme un ballon, Robert Herbin débarquait
du Cavigal de Nice pour embarquer avec l'Association
Sportive de Saint-Étienne.
La traversée fut rarement au creux de la vague
et l'écume de la goélette au carré du port
de Glasgow en témoigne encore.
Hier, surfant sur le départ volontaire de Christophe
Galtier, Oscar Garcia, qui arbore plus d'un pavillon
en su favor, est venu d'ô triche jamais pour annoncer
à notre équipe qu'elle ne saurait se laisser aller à une valse.
Le jeu de feu ne fera plus tapisserie au bal
de Geoffroy-Guichard.
Roland Garros n'en croit pas ses cieux,
même s'il sait qu'une Demoiselle
peut prendre de la hauteur.
Jelena Ostapenko, que l'on n'attendait
pas cette année à pareille crête, vient
d'amasser de la terre jusqu'aux étoiles.