Il est temps de mettre un terme
à la propagation de fausses nouvelles.
Traquons, avant qu'elle ne germe,
l'information sans vergogne. Poubelle !
Il est temps de mettre un terme
à la propagation de fausses nouvelles.
Traquons, avant qu'elle ne germe,
l'information sans vergogne. Poubelle !
Il n'y a aucune méchanceté à dire
que l'élève est un être imparfait,
comme il n'y a aucune bonté à tenir
que l'apprenant ne peut comprendre que le présent.
Les nouveaux programmes de français
de 2016 cèdent pourtant à la facilité,
avec le "bannissement" du passé simple.
Là encore, il convient de revenir aux fondamentaux,
tant il est vrai que les élèves ne sauraient être appris
pour des imbéciles. Dans le Point, Emmanuelle de Riberolles,
professeur de lettres modernes, témoigne : "Simplifier,
c'est mal connaître l'enfant, qui adore les difficultés.
L'Odyssée, en sixième, a un succès énorme."
Élie Kakou, le professeur de géographie, a relevé une scène
de crime sur la carte du collège. Pas de panique ! Avec l'appui
de la gendarmerie, les techniciens en identification criminelle
sortent des rangs de troisième.
Et il y a matière à investigation : balistique ou autres indices
(cheveux) en physique-chimie, plan 3D en technologie,
description des suspects en langues vivantes, empreintes
digitales en SVT, portraits-robots en arts plastiques, lutte
en EPS, empreintes de chaussures en mathématiques...
Et, pour couronner l'enquête scientifique, un procès
au tribunal de quatrième.