14 décembre 2014
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Mercredi, à l'aéroport de Villacoublay,
Serge Lazarevic, otage durant trois ans
d'un groupe de djihadistes, a savouré
sa liberté enfin retrouvée.
Il aurait pu citer le si cher Paul Eluard,
qui a su merveilleusement chanter
le premier mot de notre devise républicane.
En ce jour qui marque le 119ème anniversaire
de la naissance du poète, je me contenterai
de reprendre ce vers que Serge Lazarevic
aurait pu, tout au long de sa détention, dédier
à sa fille Diane :
"J'étais si près de toi que j'ai froid près des autres."