21 juin 2017
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Tristan Bernard ne fut jamais triste de son art.
Il s'employa avec la "méthode" propre au roman
ou au théâtre à montrer le monde sous son
meilleur guignol.
Et la noblesse du sport inspira à ses yeux rieurs
des articles qui sont autant d'échappées pour tout
amateur qui, trop facilement, s'estime dérisoire.
Les éditions du Castor astral ont eu la bonne idée
de publier cette aristocratie des stades.